Arles-Rhône 3

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En bref...

Scaphandrier derrière le flanc bâbord de l'épave. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13)

L’épave Arles-Rhône 3 a été découverte en 2004, gisant par 4 à 9 m de fond dans le Rhône, à Arles. Coulé au milieu du Ier siècle de notre ère, ce bateau fluvial à fond plat était enseveli dans le dépotoir portuaire de la cité romaine. Après avoir été fouillée pendant plusieurs années, l’épave a été relevée des eaux du fleuve en 2011 pour être restaurée et présentée dans une extension du Musée départemental Arles antique. Classé « trésor national », ce chaland romain de 31 m de long est particulièrement bien préservé et a conservé sa cargaison de pierres, les outils et le mobilier de bord des bateliers, ainsi que ses appareils de navigation.

Histoire du site

Nettoyage du bois de l'épave au moyen d'une suceuse à eau. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13)

L’épave a été découverte à l’automne 2004 dans le cadre d’une mission de carte archéologique du Drassm. Après deux expertises, en 2005 et 2006, visant à préciser la nature de l’épave et sa datation, un sondage a été ouvert en 2007 sur la partie arrière du bateau. L'état de conservation du bateau et son intérêt scientifique ont donné lieu à une fouille programmée pluriannuelle qui s’est déroulée de 2008 à 2011. L’épave était recouverte par environ 40 cm de sédiments sur l’arrière (situé à une profondeur de -4 m) et pas loin de 2 m sur l’avant (profondeur de -9 m). Au cours de ces quatre années, l'épave, et le dépotoir qui la recouvre, ont été fouillés exhaustivement et le bateau ainsi mis au jour a été extrait des eaux du Rhône en 2011. Après deux années de traitement au laboratoire ARC-Nucléart, l'épave a été installée au Musée départemental Arles antique.

Relevage d'un des tronçons de l'épave.  (ClichéT. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13)

Lors de sa découverte en 2004, seule une partie d’un des flancs de l'épave Arles-Rhône 3 émergeait des sédiments du dépotoir portuaire. Un dégagement très superficiel a été réalisé tandis qu’un échantillon de bois a été prélevé afin d’en préciser sa chronologie au moyen d’une analyse radiocarbone. En 2005 et 2006, les deux expertises ont été conduites sous la direction de Luc Long (Drassm). En 2005, l’expertise architecturale assurée par Michel Rival (CCJ/CNRS) a permis d’identifier un chaland de type monoxyle-assemblé avec des caractéristiques architecturales originales et l’analyse radiocarbone a situé sa chronologie entre 15 av. et 130 apr. J.-C. En 2006, l’expertise architecturale, conduite par Sabrina Marlier (CCJ/Aix-Marseille Université), a permis de dégager l’épave jusqu’à son extrémité située en aval, sur une longueur d’environ 4,40 m, et de mettre au jour la zone de vie dans la partie arrière du bateau. A la suite d’un sondage effectué en 2007, Sabrina Marlier (CCJ/Aix-Marseille Université), Sandra Greck (Arkaeos), et David Djaoui (MdAa/CG13) ont mené, de 2008 à 2010, trois campagnes de fouilles programmées qui ont permis de dégager près de la moitié de l’épave, soit les douze premiers mètres de l’arrière et environ 1,50 m de la proue. Les études dendrochronologiques, conduites par Frédéric Guibal (IMBE/CNRS), ont finalement permis de situer la construction du bateau au début des années 50 apr. J.-C.

Reconnu « trésor national » par le Ministère chargé de la Culture, l'épave a fait l'objet d'un projet mené par le Conseil général des Bouches-du-Rhône et le Drassm visant à terminer intégralement la fouille et à relever l'épave en vue de sa restauration et sa présentation au public. L’opération de fouille-relevage conduite en 2011 dans le cadre de «Marseille-Provence, Capitale Européenne de la culture 2013», s'est inscrite dans un projet muséographique comprenant également l’extension du Musée départemental Arles antique destinée à recevoir le chaland. L’opération a été assurée par les sociétés O’Can et Ipso Facto, avec la collaboration du musée départemental Arles antique, du Drassm et des ateliers de restauration ARC-Nucléart et A-Corros. Durant sept mois, une équipe constituée d'archéologues, de scaphandriers, de techniciens, de conservateurs-restaurateurs et de photographes a œuvré sur le site. Outre la fouille et le tamisage de 900 m3 de sédiments du dépotoir portuaire dans lequel gisait l’épave, l'opération a nécessité de scier la coque en dix tronçons qui ont ensuite été soumis à deux ans de traitement au laboratoire ARC-Nucléart de Grenoble. Aujourd'hui remonté au sein du Musée départemental Arles antique, le chaland est présenté en situation de navigation, avec son mobilier de bord, une partie de sa cargaison de pierres (en fac-similé) et ses appareils de navigation (pelle de gouverne et mât de halage).

Cargaison, mobilier et vie à bord

La céramique de cuisine et la lampe sont disposées sur des planches en résineux qui protégeaient le fond de la coque  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13)

Lors de son dernier voyage, le chaland transportait une cargaison de blocs de pierres calcaires disposées sur trois à quatre couches dans le caisson central aménagé au centre de la coque. Le poids de ces pierres a été estimé entre 21 et 31 tonnes, soit l’équivalent d’environ soixante charrettes. Ces blocs provenaient des carrières de Saint-Gabriel (l’antique Ernaginum), situées à 15 km au nord d’Arles, proche de Tarascon. Bien que relativement ordinaires, ces pierres pourraient illustrer un commerce mal connu et pourtant important, destiné à alimenter les chantiers de construction d’Arles ou de Camargue. Le mobilier de bord de l’équipage a également été mis au jour. Organisés autour d’un fond de dolium réutilisé comme foyer, des bouilloires, un mortier, des bols et des assiettes ainsi que du charbon de bois, destiné à alimenter le foyer, attestent d’une activité de cuisine. Une lampe à huile vient compléter ce service. Au côté de ce mobilier céramique, on compte un certain nombre d’outils multifonctionnels qui témoignent d’une activité de travail de bord. Un réa de poulie gisait également à proximité. L’identification d’une zone de cuisine et de travail dans ce secteur de l’épave et l’absence d’emplanture de mât ont permis d’identifier l’arrière du bateau.

Othello Badan et Sabrina Marlier, dans les carrières de Saint-Gabriel (Tarascon), d'où proviennent les pierres de chargement du chaland Arles-Rhône 3  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13)

Les pierres transportées par le chaland, étudiées par Pierre Excoffon, sont de taille et de forme diverses, mais disposent d’une face supérieure et une face inférieure planes, et chacune était transportable par un seul homme. Les études pétrographiques et pétrophysiques réalisées par l’équipe de géologues du CICRP, sous la direction de Philippe Bromblet, ont confirmé que les pierres proviennent des carrières de Saint-Gabriel (Ernaginum). Exploitées depuis l’Antiquité jusqu’à l’époque moderne, ces carrières ont fourni, durant des siècles, des blocs de pierres calcaires parmi les meilleures des molasses burdigaliennes de Provence pour la construction. L’origine de la cargaison, située à 15 km au nord d’Arles, nous indique donc le sens du dernier voyage du chaland avant son naufrage et permet de proposer des hypothèses quant à sa destination. Soit Arles, où l’épave a été retrouvée, pour l’alimentation des chantiers de construction de la ville : aménagements de berges, constructions monumentales ou domus. Soit la Camargue, un territoire situé entre Arles et la mer, pour la construction de villas, de fermes, de voies et de berges.

Découvert à la poupe, le mobilier de bord du chaland Arles-Rhône 3 était séparé du dépotoir portuaire qui recouvrait l’épave par une couche d’argile d’une vingtaine de centimètres d’épaisseur. Ces objets s’organisent autour d’un fond de dolium réutilisé comme brasero. L’ensemble comprend vingt pièces, dont une lampe présentant des traces d'utilisation, un pot caréné en céramique grise rhodanienne, un bord d’urne en céramique modelée varoise et trois fragments de vases en céramique à parois fines, deux assiettes et une coupelle en céramique sigillée sud-gauloise, un mortier de la vallée du Rhône. Seules les trois pièces en céramique sigillée sud-gauloise permettent, et ce avec une assez bonne précision, de situer chronologiquement le naufrage du chaland : entre les années 50/55 et 65/70 apr. J.-C. A côté de la vaisselle de bord, trois outils et un élément d’accastillage ont été découverts. Sans liaison directe avec les activités de navigation et de batellerie, il s'agit de trois outils en fer de nature multifonctionnelle, encore pourvus de leur manche en bois pour deux d'entre eux. On compte une serpe vigneronne, liée aux travaux de la vigne, une houe (outil agricole), un fer plat à douille qui s’apparente à un écorçoir utilisé en sylviculture ainsi qu'un réa de poulie en bois. A l’avant, du bois de chauffage destiné à alimenter le brasero, a été retrouvé sur le fond de la coque.

Le bateau et son gréement

L'arrière du chaland Arles-Rhône 3 remonté au sein du musée départemental Arles antique  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13)

L’épave Arles-Rhône 3, longue de 31 m, est celle d’un chaland, c’est-à-dire un bateau à fond plat destiné à naviguer uniquement en milieu fluvial. Sa construction est complexe et relève d’un savoir-faire élaboré et original : flancs monoxyles taillés dans des demi-troncs de sapins, étanchéité de la coque assurée par lutage selon la tradition méditerranéenne, proue filiforme jamais rencontrée en Europe.
Arles-Rhône 3 s'inscrit dans la famille des chalands gallo-romains du bassin rhodanien caractérisé par des influences d’origine maritime méditerranéenne. A l’interface entre la Méditerranée et le Rhône, les chantiers navals d’Arles ont sans doute joué un rôle de creuset de ces influences maritimes qui se sont ensuite propagées par la voie fluviale jusqu’à hauteur de Lyon et, sans doute, au-delà en direction du haut Rhône et de la Saône.

Scellé dans les limons du Rhône par sa lourde cargaison de pierres, et rapidement recouvert par une épaisse couche d’argile et d’autres sédiments fluviaux, le chaland présente un état de conservation exceptionnel pratiquement d’une extrémité à l’autre et dans toutes ses élévations. La coque est complète à 93% et a en outre conservé l’ensemble de ses aménagements internes ainsi que ses appareils de navigation : son mât de halage ainsi qu’une pelle de gouverne qui lui a été associée. Deux perches de sonde et divers cordages viennent compléter l’accastillage du bateau. La monnaie votive du bateau a également été découverte. Les nombreuses inscriptions (C.L.POSTV, NOBILM…) retrouvées imprimées dans les bois du chaland constituent l’un des plus gros corpus épigraphique jamais retrouvé sur une épave antique.
Le naufrage du chaland a été aussi soudain que violent puisque la cargaison était intacte et que les bateliers n’ont pas eu le temps de récupérer leurs effets personnels. Si le bateau présente de nombreuses réparations et autres avaries qui auraient pu causer des voies d’eau, c’est l’hypothèse d’une crue, dont témoigne l'épaisse couche d'argile retrouvée sur le fond de la coque, qui est privilégiée pour expliquer cet épisode tragique.

Restitution du modèle 3D du chaland Arles-Rhône 3 avec son chargement, le mobilier de bord et le timonier à la barre. Le poids de la coque a été calculé à 8 tonnes pour le bois et 237 kg de métal. (P. Poveda © Ipso Facto)

Une coque conservée à plus de 90% avec l’ensemble de ses aménagements internes suffit à faire de cette épave une découverte exceptionnelle. Qu'elle ait conservé ses appareils de navigation en fait l'une des épaves de bateau parmi les plus complètes au monde. Les études d’architecture navale initiées par Michel Rival (CCJ/CNRS) et poursuivies par Sabrina Marlier et Pierre Poveda ont mis en évidence les caractéristiques originales du chaland Arles-Rhône 3. Le fond plat, la sole, est constitué de six grandes planches, les bordages, de 5 cm d’épaisseur, disposées sur trois files. De part et d’autre de la sole prennent place des bouchains qui permettent d’assurer la transition entre le fond et les flancs de l’embarcation. Ceux-ci sont formés par d’imposantes pièces : des demi-troncs d’arbres, surmontés sur l’avant et sur l’arrière par des planches de plat-bord. Les bouchains et les bordés de flanc en demi-tronc permettent d’assurer la rigidité longitudinale du bateau tandis que la rigidité transversale est assurée à l’intérieur de la coque par toute une série de pièces transversales : quarante-sept varangues et vingt courbes. Disposée au tiers avant du bateau, l'une des varangues est une varangue-emplanture. Plus massive que les autres, elle est creusée en son centre d’une petite mortaise qui permettait de recevoir le pied de mât. Celui-ci était maintenu, plus haut, par son passage dans le banc de mât, un massif quadrangulaire disposé entre les flancs. Pour contenir la cargaison, un véritable caisson de près de 16 m de long a été mis en place dans la partie centrale du chaland. Constitué d’éléments entièrement amovibles, ce caisson ouvert pouvait accueillir un volume de près de 14 m3.
Près de 1700 clous en fer assurent l’assemblage de la coque et quatre broches assurent le maintien du banc de mât aux flancs, la proue est par ailleurs ceinturée par une véritable armature métallique. Analysés par A-Corros, les clous, d’une finesse remarquable, ont la particularité d’avoir été réalisés avec un alliage de fer et de carbone de très bonne qualité qui les assimilerait, aujourd’hui, à des clous en acier. Le poids de la coque a été calculé à huit tonnes pour le bois et 237 kg de métal (clous et ferrures).

L’étanchéité de la coque était assurée par lutage. L’étude textile réalisée par Fabienne Médard (Anatex) montre que les tissus employés, placés entre les planches de la coque avant assemblage, étaient des chiffons de laine récupérés, trempés dans de la poix et amalgamés. Cette même résine de pin chauffée était également répandue sur l’intérieur et l’extérieur de la coque.
L’étude xylologique, conduite par Sandra Greck (Ipso Facto), a identifié que le chêne caducifolié, bien résistant aux charges et aux chocs, avait été employé pour la construction du fond de la coque (sole, bouchain, varangues, courbes) et les plats-bords, et que les flancs, comme la majorité des aménagements internes avaient été façonnés dans du bois de résineux (sapin, épicéa, pin) permettant d'alléger l'embarcation par leur faible densité.
Les analyses dendrochronologiques de Frédéric Guibal (IMBE/CNRS) révèlent que c’est un sapin de 40 m de hauteur, de 90 cm de diamètre, et de plus de 300 ans d’âge qui a été abattu, puis fendu en deux dans sa longueur pour former l’essentiel du corps des flancs. La dendrochronologie permet aussi de dater assez précisément l’abattage des arbres employés à la construction du bateau :  peu après 47 apr. J.-C. pour le sapin et peu après 49 apr. J.-C. pour le chêne. Le début des années 50 peut ainsi être avancé pour la construction de ce chaland. Bien que les bois de résineux ne proviennent pas du littoral méditerranéen, ce bateau a pu être construit dans les chantiers navals d’Arles, par un acheminement des billes de bois par flottage. La poix utilisée pour assurer l’étanchéité a en revanche été produite dans un environnement méditerranéen (Pauline Burger, British Museum).

Rangé dans le fond du caisson, le mât en frêne découvert est une pièce exceptionnelle. Sa taille réduite (3,70 m de hauteur), ses différents aménagements ainsi que les traces de passage de cordages permettent en effet de l’interpréter, sans aucun doute possible, comme un mât de halage, le premier découvert à ce jour. Installé au tiers avant du chaland afin de rendre plus efficace le halage du bateau, assuré par une vingtaine d’hommes. Une rame-gouvernail en chêne, de 7,20 m de longueur, trouvée à proximité de l’épave lui est associée sur la base de datations concordantes. Disposée à l’origine dans l’axe arrière du bateau, cette rame, manœuvrée par un seul homme, permettait d’assurer la direction du chaland. A la proue du bateau, deux perches de sonde et un gros cordage, lié à l’amarrage ou au maintien du mât, ont également été découverts. C’est aussi à la proue, coincée entre deux pièces d’architecture, que la monnaie votive du bateau a été découverte. La restauration et l’étude numismatique conduites par Joël Françoise (Arc-Numismatique) permettent d’identifier un denier républicain en argent frappé en 123 av. J.-C., à Rome, au nom de C. Cato, de la famille des Porcia. Mise en place au moment de la construction, cette pièce en argent était destinée à assurer au bateau la bienveillance des dieux.
Le chaland comporte aussi un corpus épigraphique important. Huit inscriptions ont été marquées au fer sur plusieurs pièces en bois. Parmi ces inscriptions, C. L. POSTV renvoie sans doute à deux personnages d'une même famille : Caius et Lucius Postumius qui pourraient avoir été les constructeurs ou les propriétaires du navire. L'étude des autres inscriptions est actuellement en cours (Nicolas Tran, Université de Poitiers). Une série de sept graffites, probables repères de montage destinés aux charpentiers de marine, a été également découvert sur le chaland.

Lieux d'exposition du mobilier

Musée départemental Arles antique - Presqu'île du Cirque romain, 13200 Arles.
Le chaland Arles-Rhône 3 et 488 objets ayant trait à la navigation, au commerce et aux activités du port romain d’Arles sont présentés dans une nouvelle aile du musée départemental Arles antique inaugurée le 4 octobre 2013.

- Plus de photos sur le site du National Geographic : Comment redonner vie à une épave immergée pendant deux millénaires ?

- Voir la série vidéo : Arles Rhône 3 - les mystères du Rhône 

Pays France
Aire marine protégée Non
Département Bouches-du-Rhône
Commune Arles
Lieu-dit Rive droite du Rhône
Code EA 20-718
Nature du site Épave de navire
Chronologie Antiquité
Indicateur de période C14, mobilier de bord, contexte archéologique, dendrochronologie
Structures Coque, gréement, cargaison, mobilier de bord
Mobilier Amphores :
Céramiques : sigillées sud-gauloise, parois fines de Bétique, commune réductrice (grise rhodanienne), mortier à bandeau, un col de cruche, pot en commune claire, urne en modelée varoise, lampe à huile.
Autre : Cargaison : blocs de pierres calcaires provenant des carrières de St-Gabriel (poids du chargement estimé entre 21 et 31 tonnes) Outils : houe, serpe vigneronne, fer plat à douille, réa de poulie Autres : monnaie votive, pelle de gouverne, perches de sonde, mât de halage (unicum archéologique)
Lieu d'exposition Musée départemental Arles antique
Contexte Géologie : Limons du fleuve
Situation : immergé, dépotoir portuaire
Profondeur : -4 m à -9m
Historique des recherches Déclaration : 2004 - Luc Long (Drassm)
Expertise: 2005 /2006 : Luc Long (Drassm)
Opérations: Sondage : 2007 - 2ASM Fouille Programmée : 2008-2011 - Sabrina Marlier, David Djaoui, Sandra Greck, Mourad El-Amouri
Commentaires Coque conservée à 93%
Rédacteur Sabrina Marlier

Bibliographie essentielle

  • DJAOUI David, GRECK Sandra, MARLIER Sabrina, Arles-Rhône 3. Le naufrage d’un chaland antique dans le Rhône, enquête pluridisciplinaire, Actes Sud, Arles, 2011, 227 p.
  • LONG Luc, PICARD Pascale (dir.), César, le Rhône pour mémoire : vingt ans de fouilles dans le fleuve à Arles. Catalogue d'exposition (Arles, Musée départemental Arles antique, 24 octobre 2009 - 19 septembre 2010), Actes Sud - Musée départemental Arles antique, Arles, 2009, 392 p.
  • MARLIER Sabrina, Arles-Rhône 3, un chaland gallo-romain du Ier siècle après J.-C., Éd. CNRS, Archaeonautica, 18, Paris, 2014, 330 p.
  • MARLIER Sabrina, Le Rhône, autoroute fluviale, in : L. Long, P. Picard (dir.), César, le Rhône pour mémoire : vingt ans de fouilles dans le fleuve à Arles. Catalogue d'exposition (Arles, Musée départemental Arles antique, 24 octobre 2009 - 19 septembre 2010), Arles, 2009, 28‑35.
  • MARLIER Sabrina, DJAOUI David, EL AMOURI Mourad, GRECK Sandra, POINARD Benoît, Arles-Rhône 3. Ausrabung und bergung eines romischen lastkahns (Arles, Frankreich), in : M. Reinfeld (Hrsg.), Archäologie im Mittelmeer. Auf der Suche nach versunkenen Schiffswracks und vergessenen Häfen, Zaberns Bildbände zur Archäologie, Darmstadt/Mainz, 2013, 177-184

Pour approfondir

  • GRECK Sandra, GUIBAL Frédéric, Étude dendrologique de l’épave Arles-Rhône 3, in : G. Boetto, P. Pomey, A. Tchernia, Batellerie gallo-romaine : pratiques régionales et influences maritimes méditerranéennes. Actes de la table-ronde internationale (Aix-en-Provence, 27-28 octobre 2008), Aix-en-Provence, 2011, 157-163, https://books.openedition.org/pccj/1108?lang=fr
  • MARLIER Sabrina, L’épave Arles-Rhône 3 : étude préliminaire d’un chaland gallo-romain, in : G. Boetto, P. Pomey, A. Tchernia, Batellerie gallo-romaine : pratiques régionales et influences maritimes méditerranéennes. Actes de la table-ronde internationale (Aix-en-Provence, 27-28 oct. 2008), Aix-en-Provence, 2011, 131-151, https://books.openedition.org/pccj/1096?lang=fr
  • MARLIER Sabrina, Un film d’animation 3D sur l’épave Arles-Rhône 3, L’Archéo-Théma. Dossier : L’archéologie des cours d’eau en France, n° 6, 2010, p. 20-21.
  • MARLIER Sabrina, GRECK Sandra, GUIBAL Frédéric, ANDRIEU-PONEL Valérie, Arles-Rhône 3: Architectural and Paleobotanical Study of a Gallo-Roman Barge from the 1st Century in the Rhône river, in : N. Günseninb (éd.), Between Continents. Proceedings of the Twelth Symposium on Boat and Ship Archaeology (Istanbul, 2009), Istanbul, 2012, p. 203-210.

Photos

Scaphandrier derrière le flanc bâbord de l'épave. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Implantation du site de fouille, en 2011, vue du ciel. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Implantation du site de fouille et de la base de vie, sur la rive droite du Rhône.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage du bois de l'épave au moyen d'une suceuse à eau. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Documentation de l'épave par une archéologue-plongeuse. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Grutage du tronçon 9 dans son berceau. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Grutage du berceau et du tronçon pour venir les déposer à terre. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) De leur sortie de l'eau jusqu'à leur transport à l'atelier ARC-Nucléart, les bois de l'épave sont maintenus en eau. Hormis les moments de documentation, ils sont placés sous des rampes d'arrosage. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) L'état du bois et des clous de la coque à leur sortie de l'eau. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Branchement de câbles sur les bois pour effectuer des mesures au cours du cycle de lyophilisation qui durera deux mois. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) L'arrière du chaland Arles-Rhône 3 remonté au sein du musée départemental Arles antique  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Revers de la monnaie votive, découverte entre deux pièces d'architecture, à la proue du bateau.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Restitution du modèle 3D du chaland Arles-Rhône 3 avec son chargement, le mobilier de bord et le timonier à la barre. Le poids de la coque a été calculé à 8 tonnes pour le bois et 237 kg de métal. (P. Poveda © Ipso Facto) La céramique de cuisine et la lampe sont disposées sur des planches en résineux qui protégeaient le fond de la coque  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Cette serpe vigneronne faisait partie de l'équipement de bord du chaland  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Othello Badan et Sabrina Marlier, dans les carrières de Saint-Gabriel (Tarascon), d'où proviennent les pierres de chargement du chaland Arles-Rhône 3  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) En surface, les pontons utilisés pour la fouille-relevage de l'épave, en 2011.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Briefing du matin pour les équipes d'Ipso Facto, d'O'Can et du musée départemental Arles antique.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Briefing conduit par Sandra Greck (Ipso Facto), co-responsable d'opération.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Briefing conduit par Benoît Poinard (O'Can), chef de chantier.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Briefing du matin.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Briefing sur le chantier de fouille.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Préparation d'un archéologue-plongeur.  (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Préparation d'un archéologue-plongeur équipé d'un masque facial. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Sabrina Marlier (musée départemental Arles antique), responsable d'opération. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Benoît Poinard (O'Can), chef de chantier. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Mourad El Amouri (Ipso Facto), co-responsable d'opération. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Préparation d'un scaphandrier avant son immersion. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise à l'eau d'un scaphandrier relié à la surface par un narguilé. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Immersion d'un scaphandrier. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Scaphandrier sur le site Arles-Rhône 3. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Scaphandrier avec une suceuse à air utilisée pour fouiller le dépotoir portuaire de l'Antiquité recouvrant l'épave. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Communication entre un scaphandrier et un archéologue-plongeur, en plongée autonome, au moyen d'une tablette et d'un crayon. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Communication, par écrit, entre deux archéologues-plongeurs. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Le dépotoir portuaire recouvrant l'épave Arles-Rhône 3. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Le dépotoir portuaire recouvrant l'épave Arles-Rhône 3. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Fouille du dépotoir portuaire recouvrant l'épave Arles-Rhône 3. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Mobilier archéologique appartenant au dépotoir portuaire recouvrant l'épave Arles-Rhône 3. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Dégagement de l'épave recouvert par les sédiments du fleuve et pris dans le dépotoir portuaire antique. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Déroulé d'un filet pour retenir les bermes créées par la fouille. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Fouille des sédiments recouvrant l'épave à la suceuse à eau. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Fouille des sédiments recouvrant l'épave à la suceuse à air. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Scaphandrier derrière le flanc bâbord de l'épave. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Marquage des structures de la coque par un archéologue-plongeur. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Découverte du mât de halage rangé dans le fond du caisson, sous le chargement de pierres. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Le mât de halage, découvert sous la cargaison de pierres, dans le fond du caisson du bateau. (Cliché et photomontage T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Prise de mesure sur l'avant de l'épave. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Documentation de la proue de l'épave lors de la fouille 2010. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) La proue du chaland dégagée en 2010. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Mesure pour déterminer le trait de coupe - matérialisé par une petite cordelette transversale - du prochain tronçon à scier pour son relevage. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Relevé d'architecture navale par une archéologue-plongeuse. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Relevé du vaigrage du fond du caisson avant son relevage. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Relevé d'architecture navale sur une planchette recouverte d'un calque synthétique. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Serrage des éléments du berceau dans lequel est pris le tronçon à relever. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Serrage des éléments du berceau dans lequel est pris le tronçon à relever. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Réglage du berceau autour du tronçon à relever. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Observations sur la coque par un archéologue-plongeur et un scaphandrier. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Mise en place d'une cale derrière le flanc du bateau. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Découpe d'un tronçon de l'épave à la scie égoïne par Pascal Despain (O'Can), scaphandrier.  (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Découpage du tronçon à relever, par Pascal despains (O'Can), au moyen d'une scie égoïne. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Découpage du tronçon à relever au moyen d'une scie égoïne. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Suivi d'une opération de relevage depuis la surface au moyen d'un retour vidéo. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Remontée d'un tronçon de l'épave dans la "piscine"  du ponton. (Cliché T. Seguin ©  O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Sortie du tronçon 3 dans la "piscine" du ponton métallique. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le tronçon 3 à sa sortie de l'eau. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Scaphandrier qui accompagne la sortie du berceau dans lequel est pris le tronçon de l'épave relevé.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise en place des chaînes sur le palan qui va relever le berceau et le tronçon, sous la direction de Benoît Poinard (O'Can), chef de chantier.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le tronçon 8 à sa sortie de l'eau.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Sortie du tronçon 7.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Relevage d'un des tronçons de l'épave.  (ClichéT. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Passage dans les airs d'un des tronçons relevés. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Grutage du berceau et du tronçon 3 pour venir les poser à terre. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) C'est une grue de 80 tonnes qui assure le levage de l'ensemble berceau-tronçon. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le grutage s'effectue devant quelques dizaines de privilégiés, admis dans l'enceinte du chantier pour l'occasion.(Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Préparation du chariot pour recevoir le berceau et le tronçon relevé. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Positionnement du berceau et du tronçon au-dessus du charriot. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Mise en place du berceau et du charriot sur le berceau. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage d'un des tronçons de l'épave, à sa sortie de l'eau. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Les sédiments et quelques artéfacts archéologiques recouvrant le tronçon à sa sortie de l'eau. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le tronçon 7 avec le fond de son caisson maintenu en place par un tapis néoprène recouvert par une grille. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le tronçon libéré de son berceau. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le tronçon 8 avec son banc de mât protégé, pour le relevage, par une caisse en bois. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Tronçon avec le plancher de cale du fond du caisson en place. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage du plancher de cale par Pierre Poveda (CCJ), archéologue navale. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Michel L'Hour, directeur du Drassm, et Claude Sintès, directeur du MdAa, observent un des tronçons de l'épave à sa sortie de l'eau. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Traction du chariot pour le faire entrer dans le hangar. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Entrée du tronçon 9 dans le hangar. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise en place du tronçon 7 dans le hangar. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage du fond du caisson du tronçon 7. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage du plancher de cale du tronçon 7 par Sabrina Marlier (MdAa), responsable d'opération. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Démontage du fond du caisson après avoir été documenté. (Cliché L. Roux © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Nettoyage du tronçon 5 par Fabrice Laurent (Ipso Facto), archéologue naval, après le démontage du plancher de cale. (Cliché L. Roux © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Suite du nettoyage du tronçon par Fabrice Laurent (Ipso Facto) et Pierre Poveda (CCJ), tous deux archéologues navals. (cliché L. Roux © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Etiquetage du tronçon 5, en vue de sa documentation et son démontage. (Cliché L. Roux © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Nettoyage d'un tronçon après le démontage du fond du caisson. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage du tronçon et du sol du hangar recouvert de boue. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Documentation du tronçon 3 par Pierre Poveda (CCJ), archéologue naval. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Nicolas Ranchin (Ipso Facto), archéologue, assure le relevé 3D d'un des tronçons de l'épave au moyen d'un appareil optique, le C-Track. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Le relevé est effectué au moyen d'une probe que tient Nicolas Ranchin (Ipso Facto) dans sa main. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Relevé 3D d'un des flancs d'un tronçon relevé. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Relevé 3D du tronçon 2 par Nicolas Ranchin (Ipso Facto), archéologue. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Relevé sur polyane de la section d'un tronçon, par une régisseuse d'ARC-Nucléart, avant le démontage des flancs. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Documentation du tronçon 9 par un archéologue naval.  (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Rafraîchissement du bois à la lame de rasoir, par Sandra Greck (Ipso Facto), dendro-archéologue, pour les observations destinées aux analyses dendrologiques. (Cliché L. Roux © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Marie-Laure Courboulès (MdAa) et Philippe de Viviés (A-Corros), tous deux conservateurs-restaurateurs, s'entretiennent sur le démontage du tronçon à réaliser. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Démontage en cours du tronçon avec l'enlèvement d'un des deux flancs, sous la direction de Henri Bernard-Maugiron (ARC-Nucléart), restaurateur et chef de projet pour la restauration de l'épave AR3. (Cliché T. Seguin © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Démontage d'un des flancs du tronçon 8 par les équipes d'ARC-Nucléart, A-Corros et du musée départemental Arles antique. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise en place du flanc dans le châssis destiné à son transport par Henri Bernard-Maugiron (ARC-Nucléart), Philippe de Viviés (A-Corros) Ali Aliaoui (MdAa) et Marie-Laure Courboulès (MdAa). (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Relevé 3D, au C-Track, d'une des sections de flanc démonté de l'épave par Nicolas Ranchin (Ipso Facto), archéologue. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Relevé 3D d'un des flancs de l'épave démonté par Sabrina Marlier (MdAa), archéologue navale.  (Cliché L. Roux © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Sandra Greck (Ipso Facto), dendro-archéologue, documente un flanc d'un des tronçons de l'épave, après son démontage par les restaurateurs. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Conditionnement d'un flanc d'un des tronçons de l'épave pour son transport à Grenoble. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Marquage des chassis par les régisseuses d'ARC-Nucléart pour le transport des éléments de l'épave. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Relevage d'une des cloisons latérale du caisson sur un brancard. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise en piscine d'une planche du caisson, en attente de sa documentation. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Transport du mât de halage sur deux civières aménagées sur une échelle. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le mât de halage, fracturé, sur ses deux civières. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Observation des traces de cordages sur le sommet du mât de halage. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Immersion du mât de halage dans une piscine, en attente de sa documentation. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Aspersion du tronçon T10, correspondant à la proue du chaland, après sa sortie de l'eau. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le tronçon T10 sous les rampes d'arrosage du hangar, en attente d'être documenté. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Détail du tronçon T10 sous les rampes d'arrosage. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Une corne et un tesson de céramique collés sur l'extrémité de la proue parmi les nombreux amalgames liés aux renforts métalliques qui ceinturent le proue. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Médiation auprès de collégiens d'Arles autour de la proue du chaland. (cliché L. Roux © O'Can-Ipso Facto, Mdaa/CG13) Documentation des planches du caisson par Sabrina Marlier (MdAa), archéologue navale. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Documentation des éléments du caisson par Sandra Greck (Ipso Facto), dendro-archéologue, et Sabrina Marlier (MdAa), archéologue navale. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Chargement des éléments de l'épave conditionnés sur des plateaux pour leur transport à Grenoble, à l'atelier ARC-Nucléart. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Immersion des éléments de l'épave dans des bassins remplies de polyéthylène glycole, une résine soluble dans l'eau, à l'atelier ARC-Nucléart de Grenoble. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13 Préparation, par Henri Bernard-Maugiron (ARC-Nucléart), du banc de mât et du mât de halage pour leur immersion dans les bassins. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Préparation de la proue pour son immersion dans un des bassins. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Conditionnement des éléments du mât de halage avant son immersion. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Après une immersion de 5 mois dans une piscine remplie de résine, acheminement des pièces dans un autre espace de l'atelier. En arrière plan, les montagnes de Grenoble. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Acheminement du plateau dans un autre espace de l'atelier. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le plateau avec la proue et les éléments du mât de halage, prêt à être enfourné dans un lyophilisateur. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Insertion du plateau avec les éléments du mât de halage et de la proue dans un lyophilisateur où ils passeront deux mois afin d'assécher l'eau résiduelle contenue dans les bois. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Déconcrétionnement des renforts métalliques de la proue. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Prélèvement de concrétions, à la proue, en vue d'analyses. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage des renforts métalliques de la proue, au micro-burin, par Philippe de Viviés (A-Corros), restaurateur. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage des renforts métalliques de la proue, au micro-burin, par Philippe de Viviés (A-Corros), restaurateur. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Relevé 3D de la pelle de gouverne par les archéologues d'Ipso Facto. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Immersion de la proue dans une cuve de résine en vue de son irradiation par des rayons gamma. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Acheminement de la proue en cellule d'irradiation. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Installation de la proue en cellule d'irradiation, à l'atelier ARC-Nucléart de Grenoble, site du CEA. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Préparation de la proue en vue de son irradiation. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Préparation de la proue en cellule d'irradiation avec suivi sur écran de contrôle. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Fermeture de la porte, d'une épaisseur d'1,50 m, de la cellule d'irradiation. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Rafraîchissement du bois à la lame de rasoir, en vue des analyses dendrochronologiques. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mesure des épaisseurs des cernes de bois d'une pièce de sapin, par Frédéric Guibal (CNRS/IMBE), dendrochronologue. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Vue macroscopique des cellules d'une pièce de sapin du chaland. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Après lyophilisation, nettoyage des bois par les régisseurs d'ARC-Nucléart. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage des fragments de bois, pour leur remise en place sur les tronçons de l'épave, par les restauratrices d'ARC-Nucléart. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Séances d'arrachage des clous des tronçons du bateau, par les restaurateurs d'A-Corros, au sein de l'atelier ARC-Nucléart. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Jean-Bernard Memet et Philippe de Viviés (A-Corros) ont assuré, en prévention d'une réaction chimique des clous au contact des bois, l'enlèvement et le curatage de plus de 1700 clous du chaland. (Cliché R. Bénali  © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Philippe de Viviés (A-Corros), enlève un clou inséré depuis l'extérieur de la sole. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Détail d'un clou corrodé. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Sabrina Marlier (MdAa), en charge du suivi du projet Arles-Rhône 3, et Béat Arnold, archéologue naval suisse, en pleine séance de travail à l'atelier ARC-Nucléart de Grenoble. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Relevé d'une inscription imprimée sur le dos d'une des membrures du chaland : C.L.POSTV. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13 Relevé 3D de la proue par les archéologues d'Ipso Facto, à l'atelier ARC-Nucléart de Grenoble. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Acheminement des bois restaurés à l'atelier de Fontaine, à la péripéhrie de Grenoble. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Construction du soclage avec les éléments du chaland entreposés autour, en attente de leur remontage. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) L'ensemble du soclage métallique destiné à recevoir le chaland. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Remontage de l'arrière du chaland en cours, à l'atelier de Fontaine. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Remontage des soles de l'arrière du chaland, sur son socle, à l'atelier de Fontaine. (Cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Fabrication de la poutre métallique pour soutenir le support (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise en place d'un des bordés de flanc, à l'aide de palans (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise en place d'un des bordés de flanc, à l'aide de palans, sur tribord (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Réglage de la hauteur du bordé de flanc contre la sole, à l'aide de palans (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Les produits utilisés par les restaurateurs pour consolider les bois (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Séchage de la résine sur l'extérieur d'un des bordés par une restauratrice d'ARC-Nucléart (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Détail d'un fragment de tissus poissés, utilisés pour assurer l'étanchéité de la coque, débordant d'un joint de bordage (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Tissu de laine utilisé pour assurer l'étanchéité entre les planches de la coque, après restauration et dépliage (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Restauration minutieuse du bois d'une membrure (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Lorsque c'est possible, les plus petits fragments de bois sont replacés (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Travail de restauration sur un fragment du chaland (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Réalisation du fac-similé pour combler la lacune dans la coque du chaland, sur tribord arrière, par P. Garrivier, ébéniste (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Le fac-similé est réalisé avec des outils traditionnels (herminette, rabot…). Les copeaux de bois, à terre, résultent de ce travail du bois  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Les produits et les outils utilisés par les restauratrices (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Application d'un produit chimique sur le bois par une restauratrice  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Nettoyage de surface des traces de résine résiduelles sur les planches du caisson  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Les planches du vaigrage, après traitement et avant leur nettoyage  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Remise en place du bouchain, sur bâbord arrière (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Calage du bouchain, sur l'extérieur  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Restauration du bouchain, par une des restauratrices d'ARC-Nucléart  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Extraction d'un clou d'assemblage de la sole  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) De gauche à droite : J.-F. Hérelle (CG13), P. Roucheyroux (CIC-Orio), Cl. Sintès et  A. Charron (MdAa),  H. Bernard-Maugiron (ARC-Nucléart), et l’ébéniste P. Garrivier, autour de la proue du chaland  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Othello Badan  a orienté les scientifiques vers les carrières de Saint-Gabriel. Les analyses des géologues du Cicrp (dir. Ph. Bromblet) sont venus confirmer la provenance des pierres  de chargement du chaland (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13 Juin 2013 : arrivée des pièces de l'arrière du chaland au musée départemental Arles antique (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Les pièces démontées de l'arrière du chaland, et conditionnées sur des plateaux inox et dans des caisses, sont dans un premier temps stockées dans les réserves lourdes du musée  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise en place des éléments de sole de l'arrière du chaland, sur le socle installé dans la fosse de l'extension du musée, sous le regard de son directeur, Cl. Sintès  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Les soles sont mises en place les unes après les autres et calées les unes par rapport aux autres  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Discussion entre Cl. Sintès, le directeur du musée départemantal Arles antique, et H. Bernard-Maugiron, chef de projet de la restauration du chaland (ARC-Nucléart), autour du plan de remontage du chaland  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Fin juin 2013. Remontage de la sole de l'arrière du chaland, sur son support, au sein du musée  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) L'extrémité d'un des bordés de flanc encore dans son châssis de transport  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Les chaudronniers de CIC-Orio, Franck et Mickaël, assurent les réglages des bracelets qui viennent maintenir les bordés de flanc contre la sole  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise en place d'un des bordés de flanc, sur tribord arrière, grâce à l'aide de palans  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Les éléments du chaland sont remis en place parfois pièce par pièce. Sur la photo, Floriane Hélias, restauratrice d'ARC-Nucléart et adjointe de H. Bernard-Maugiron pour le remontage du chaland  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) La mise en place du fac-similé, sur l'arrière, par Stéphane Garrivier, régisseur ARC-Nucléart, sous le regard de H. Bernard-Maugiron et celui de Cl. Sintès  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) L'inscription C.L.POSTV, imprimé sur l'intérieur du haut du flanc, sur tribord arrière  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) L'inscription C.L.POSTV avec, en arrière plan, la restauratrice Ethel Bouquin (ARC-Nucléart) qui assure les finitions pour la restauration du chaland  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Juillet 2013. Près de la moitié arrière du chaland est en place dans la fosse du musée départemental Arles antique  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Préparation du mobilier de bord du chaland pour les essais de remise en place dans la coque  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Soizic Toussaint, du service conservation, assure la remise en place des objets, sous la direction d'A. Charron, responsable du service archéologique et directeur adjoint du musée, et de S. Marlier  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Essai de remise en place de la vaisselle de bord, en arrière du fond de dolium réutilisé comme brasero (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Aurélie Coste, du service conservation, dispose les objets à la poupe du bateau  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Discussion entre S. Marlier et S. Toussaint sur la disposition des objets de bord  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Mise en place d'un col de cruche  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Disposition de la houe, appartenant à la dotation de bord, en arrière de la vaisselle des bateliers  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13 Cette lampe à huile, décorée d'un médailon d'applique représentant un Amour, faisait partie de la dotation de bord  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Avers de la monnaie votive du bateau. Il s'agit d'un denier en argent frappé en 123 av. J.-C. au nom de C. Cato, de la famille des Porcia  (cliché R. Bénali © Studio Atlantis, Mdaa/CG13) Implantation, en surface, de la zone de fouille du site Arles-Rhône 3 lors de la première opération de fouille programmée, en 2008. (Cliché S. Marlier © S.Marlier) Le Fleur de Cactus, support de fouille durant les opérations 2008, 2009 et 2010. (Cliché S.Marlier © S. Marlier) Le Fleur de Cactus, support de fouille durant les opérations 2008, 2009 et 2010. (Cliché S.Marlier © S. Marlier) Le Fleur de Cactus et la vedette Le Rhône, des VNF, supports de fouille en 2010. (Cliché Ph.Robin © Ph.Robin) Le Rhône  a servi de bureau flottant, de salle de réunion et de cafétaria durant la campagne de fouille 2010. (Cliché J.-L. Verdier © J.-L. Verdier) La vedette Le Rhône, des VNF, en conférence-fluviale pour présenter aux publics le site archéologique Arles-Rhône 3. (Cliché J.-L. Verdier © J.-L. Verdier) Préparation d'une archéologue-plongeuse. (Cliché J.-L. Verdier © J.-L. Verdier) Mise à l'eau d'archéologues-plongeurs en combinaison étanche et équipés d'un masque facial et d'un casque portant des éclairages. (Cliché Ph. Robin © Ph. Robin) Médiation hebdomadaire, en 2010, par un archéologue du musée départemental Arles antique et une archéologue d'Arkaeos. (Cliché Ph. Robin © Ph. Robin) Médiation au moyen d'une caméra embarquée sur le casque d'un plongeur pour rentransmettre les images subaquatiques en direct.  (Cliché Ph. Robin © Ph. Robin)

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